En philosophie, il se trouve de nombreuses définitions attribuées à la raison, tant observables à travers les siècles et les philosophes et se rapportant toutes à un même point. Platon au IV e siècle avant J.C se voyait obtenir la justice et la vérité. Plus tard vers la période moderne, chez René Descartes la raison participe à l’élaboration des données correctes dans l’esprit, ce qu’il nomme faculté de bien juger. On notre principalement le rapport de la raison avec le bien chez les philosophes. La raison se définit comme une faculté de la personne humaine à formuler des jugements ou raisonnement dans l’esprit et nécessairement pour les traduire, avant d’être chez les philosophes au regard des défauts de l’être humain, un moyen d’acquérir le savoir juste ou de bien juger. Par ailleurs, la foi intervient plus dans le domaine religieux en tant que le caractère de celui qui croit en une réalité survivante susceptible d’être le socle de sa vie d’être humain. Il est connu que la raison complèterait la foi comme un moyen lui permettant de ne pas se perdre dans cette réalité. Or la raison d’autre part pourrait la qualifier de déraisonnable en vue du manque de cordialité avec la réalité des sens humains. Reste donc à nous demander: Quel serait le véritable rapport entre la foi et la raison ? Quelles données donnent un sens à la foi à partir de la raison ? Dans cet exposé sera donné une dialectique sur la foi et la raison avant de laisser apparaitre la réalité de l’âme à l’aube des quelques données psychologiques.

I.                   DIALECTIQUE ENTRE RAISON ET FOI

L’être humain possède la raison comme faculté pour formuler des jugements, raisonnements et pour discerner dans l’esprit avant toute transmission. La raison se présente comme telle en tout être humain car elle devient utile des qu’un individu commence à acquérir du savoir et utiliser son cerveau. Seulement qui donne à la raison son usage formel est le sens. En effet le sens détermine l’être comme qui dirait bien ou pas, malade mental ou pas. Le sens que l’on tente d’évoquer ou celui de la raison est « le bon sens » premièrement évoquée par le philosophe moderne René Descartes dans son œuvre 1637 intitulé Discours de la méthode. Par conséquent, l’être humain pour interagir en toute lucidité avec le monde extérieur, physique ou visible doit nécessairement faire usage de la raison. C’est la faculté de bien se mener, présente en tout être qui se respecte.

Sur un autre point de vu, la raison existe aussi chez les animaux. Cela était déjà visible sur les propos d’Emmanuel Kant selon lesquels : « posséder le ‘je’ dans sa représentation: ce pouvoir l’élève infiniment au-dessus des autres êtres vivant sur la terre. » (Anthropologie du point de vue pragmatique I). Seulement à la différence que l’homme soit en mesure de reproduire un nombre incalculable de sons présents dans l’univers. L’usage de la raison se trouve donc limitée chez les animaux à quelques sons. La raison est donc derrière les cinq sens (la vue, l’ouïe…) une disposition permettant dans le cerveau la réception certaine et précise des données extérieurs par les sens, l’analyse dans l’esprit et une bonne coordination avec le monde extérieur. Si la raison dispose les sens humains (l’ouïe, l’odorat, le gout, le touché et la vue) afin de permettre à l’être humain de recevoir les données extérieures avec précision et certitude, la foi rejette tout ce que les sens humains perçoivent, considérant ce qui y parvient  comme illusoires pour se renfermer dans ce que les sens ne perçoivent pas ou le silence.

Pour donner un sens à la foi à partir de la raison, il faut la considérer contraire à  celle-là dans la mesure des choses matérielles. En effet, la raison est une faculté de formuler des jugements et raisonnement dans l’esprit, une fonction pour bien juger ou de bien disposer les sens. Or la raison dans toutes les définitions servent dans l’interaction avec le monde que les sens sont en mesure naturellement de percevoir. Cependant, la foi laisse penser un monde qui n’existe qu’avec la certitude de l’existence d’un Dieu qui peut placer l’être raisonnable dans un état de déroute avec la réalité que les sens font parvenir à l’esprit. Pour établir un rapport il faut penser la foi comme la naissance d’une vie dont les sens humains ne seront d’aucune utilité. C’est la naissance de l’âme. On peut prendre l’exemple de la vie de Jésus-Christ que l’on peut suivre à travers la bible qui se proclamait roi d’un royaume qui n’était pas sur terre, de même qu’il enseignait de ne plus vivre selon la chaire mais l’esprit en incitant les hommes à se repentir au près d’un Dieu pour purifier leurs âmes de tout pèches contre les règles que Dieu fit établir par des prophètes (hommes capable de prédire l’avenir dans la tradition judéo-chrétienne). Ainsi la foi et la raison sont complémentaire sur le champ de la connaissance mais contraire d’un point de vu vivant car l’une permet une bonne instance dans le monde, physique ou matériel que les sens perçoivent tandis que l’autre tente de se renfermer dans l’âme prenant pour illusoire la réalité des sens humain pour s’ouvrir à une croyance.

II.                  MISE EN VALEUR DE L’AME ET DE LA RAISON ET RAPPORT AVEC LA PSYCHOLOGIE. 

Le cerveau est l’organe de l’homme situé à la tête capable de traiter les informations. Le cerveau traite les souvenir de l’homme, les pensées, le savoir en circuit fermé grâces aux neurones qui se communiquent les informations de façon électrochimique. Les informations que les sens perçoivent sont transmises au cerveau pour être analysés et situés dans le temps et l’espace. En effet les informations transmises au cerveau proviennent du monde extérieur par les sens. Ce que l’on voit, qu’on entend, qu’on sent, arrivent sous la forme de signaux électriques jusqu’au cerveau afin d’y être traité. Ces signaux électriques circulent chimiquement entre les neurones. C’est pourquoi on parle de transmission électrochimique. Mais chez tout être humain, il est noté cette interaction du cerveau avec le monde entre les sens. Seulement, rien ne prouvent que ces informations se situent elle-même dans l’espace et le temps. Par exemple un ordinateur dernière génération. Les données présentent dans la mémoire bien qu’elles ne font que corps avec lui ne peuvent pas s’utilisées. D’où la nécessité d’attribuer l’être qui doit utiliser ces données et les situer dans l’espace et le temps. Par conséquent, le cerveau emmagasine des données que l’être utilise avec la raison. En d’autre terme, si l’être n’existait pas l’homme ressemblerait à un programme, par conséquent ne pourrait qu’être utilisable. Mais dans la mesure selon laquelle il est en mesure de penser par soi ou de formuler une donnée qui lui est propre, il a donc l’être ou une pensée pour se conduire sans contraintes. Aussi la diversité des personnalités selon lesquelles chacun aurait ses gouts, sa façon de vivre, ses principes démontre que l’homme n’est pas un programme et qu’il peut décider de vivre selon ses convictions au détriment de ce qu’il aurait reçu comme éducation ou ordre. Ainsi, à partir de l’être et de certaines valeurs éducatives ou si l’on sait ce qui parvient à nos sens, on peut faire naitre l’âme. La raison est donc nécessaire à cause de l’être car les donnée reçues à l’éducation peuvent à cause de ce phénomène s’utilisées d’une façon toute particulière avec l’âge  parfois dans le sens qui ne conviendrait pas à la sécurité de sa propre personne ou à celle des autres.

Au terme de notre exposé sur le thème de la Raison et de la Foi, on peut retenir que les deux sont opposées sur un point de vu vivant. En effet, la raison interagit avec le monde que les sens humains perçoivent tandis que la foi laisse entrevoir un monde que les sens humains ne perçoivent pas en rejetant tout ce qui est matériel. Mais sur le champ de la connaissance, la Raison se trouve utile aux domaines qui exercent dans la Foi. Ensuite, sur un plan psychologique, les données amassées par le cerveau aboutissent à la création de l’être et de l’âme que la raison justifie le sens. Désormais nous pouvons garder à l’esprit que la raison pourrait être indispensable pour toutes activités humaines.

Nirvana

On se sent maintenant vivant comme sur une étoile

Quand cette fois on se rend compte qu’on a mis le voiles

Sur une « terre » où je suis seul à exister,

C’est là où les malheurs ne peuvent me trouver.

Là je pense être vraiment heureux

À l’heure où dans le monde s’évissent misère et douleur

Il n’y a ici que moi pour me conduire et m’assouvir

Je trouve enfin le moyen de me changer un moment de toute cette peur

Car ici je ne vis plus comme un peureux

Néanmoins je n’aurais qu’à m’assagir.

D’aussi loin que la honte et le pêcher ne puisse plus me trouver

Je ne fait qu’admirer ce paysage unique

Avec une loupe que je ne vois guerre

Au point où mon cœur plein de renceurs puisse s’allaiger de toute ces horreurs

Et attendant le temps de mon passage

Je fais passer les heurs avec cet humeur

D’être qu’en même arriver au large.

C’est ici même le lieu où je médite et rêvant

Et que mes rêves se réalisent ou pas

Je n’aurais qu’à aller encore plus loin de l’avant

Sans jamais éprover le désir d’y revenir encore mais tout laissant une trace.

………………………………..Moukagni Mabicka Igor Jordan O……………………………………………………………..